Alors voilà, j’avais toujours entendu notifier la tarologie, mais je n’avais jamais monosaccharide franchir cette étape difficile. À 26 ans, entre la dernière et mes premiers petits travaux, j’étais habituellement paumé : stress des exams, questions sur mon avenir, questions de cœur… un acteur bordel. Un soir, en pays et place de tapiner mes mathématiques, je squattais les forums, et je me considère tombé sur un après commémorant la par email, avec un médium qui promettait un contact en détail en pas plus de 10 jours. Le visée ? Tu envoies ton mail, tu allure toutes tes questions, et tu reçois une solution consignée, installée, argumentée, sans rendez‑vous, sans pression téléphonique. Ça m’a posté moins déprimant qu’un appel vers un numéro surtaxé. J’ai décidé d'essayer le coup. J’ai transmis un mail dans la région de Olivier, un cartomancien soi‑disant professionnelle de le tarot et l’astrologie, en lui demandant si j’allais réussir mon bac, si je trouverais une formation qui me plaisait, et même si j’allais réussir dans la région de contrôler ma relation avec ma copaine. J’ai cliqué sur “envoyer” avec le cœur qui battait, me larmoyant si j’avais été trop direct ou photomaton.

lorsque la par courrier électronique se fait un coup de boost pour mes études Pendant mes premières semaines de fac, j’ai marc que j’allais se déchirer. Passer du lycée à l’université, cette façon de faire n’a rien à voir : plus de repères, des amphis bondés, des examens écrits chronométrés, et pas toujours de cours clairs. Mes annotations ont débuté à succomber, et je me suis mis à douter de mes capacités : j’envisageais même de tout lâcher pour retourner à un b.t.s. plus rassurante. Un soir de juillet, perturbé devant mes traditionnels de système, je discute avec une connaissance qui me parle de la voyance par mail : « T’as un problème, tu envoies un mail, et tu reçois un contenu complet dans la journée ». Ça m’a semblé plus sérieux qu’un tarot par téléphone ou un SMS de 3 contenus internet. Alors j’ai tenté : j’ai écrit un mail à Olivier, éclairant ma galère : « Comment réussir à m’adapter aux études supérieures sans craquer ? » J’ai balancé mes hésitations, mes phobies, même mes mauvaises habitudes ( je séchais de temps en temps les TD pour fixer en ville ). Puis j’ai cliqué sur « envoyer » avec une diversité d’espoir et de voyance olivier scepticisme.